Quels sont les coureurs juniors à suivre en 2025 ?
Comme c’est le cas chaque année, Velo-Club vous propose une liste des juniors à suivre cette saison. L’occasion de faire le point sur ceux qui pourraient briller pour leur seconde année dans cette catégorie, mais aussi les nouveaux entrants, qui ont brillé chez les cadets, et devraient déjà faire parler d’eux.
Et on commence par Ashlin Barry, qui avant même d’entamer la saison, a déjà signé un contrat en World-Tour. Le jeune américain sera sans aucun doute l’épouvantail cette année dans la catégorie.
Son principal concurrent sera par ailleurs peut-être danois, en la personne de Noah Lindholm Møller Andersen. Très régulier en 2024, il a notamment remporté le GP Luxembourg.
Côté français, la cuvée sera potentiellement moins bonne qu’en 2024. Rien de plus logique cependant, difficile de sortir un Paul Seixas tous les ans. Néanmoins, parmi les jeunes à suivre, on pourra citer Johan Blanc, Yann Dubois, Karl Sagnier ou bien encore Jan Hernandez-Reilhé.
Sur le vieux continent, quelques noms à livrer, comme celui du polonais Janek Jackowiak. L’estonien Ron Rooni sera lui aussi à suivre, tout comme le belge Edouard Claisse et le néerlandais Michiel Mouris. Chez nos voisins italiens, deux noms retiennent l’attention, celui de Mattia Agostinacchio, récent champion d’Europe de Cyclo-Cross, ainsi que celui d’Alessio Magagnotti.
Enfin, pour conclure en Europe, gardez un œil attentif sur Bastian Petric, Hakon Eiksund Oksnes et Javier Cubillas.
En Australie, Max Goold sera bien évidemment à scruter, tout comme le double champion d’Afrique Keven Teklemariam.
Chez les J1, il est encore plus difficile d’établir une liste de noms, car les données manquent logiquement chez les cadets, et surtout, il est compliqué de se baser sur autre chose que les résultats bruts. Malgré tout, on peut citer le français Soren Bruyère Joumard, récent vainqueur de la manche de Coupe du Monde de Besançon. Idem pour Gabriel Genter, le vainqueur du Trophée Madiot. Enfin, rapidement, on donnera les noms de Giel Lejeune, Antoine Salamin et Benjamin Noval, tout en gardant à l’esprit que chaque jeune à sa propre vitesse de développement, et qu’il est donc plus que probable que certains stagnent un peu alors que d’autres juniors exploseront en J2.